Trains Intercités - L’UNSA-Ferroviaire s’oppose à une "logique purement comptable"
L’UNSA-Ferroviaire s’oppose à une "logique purement comptable de réduction du déficit d’exploitation", dont l’application placerait Intercités dans "une spirale de déclin". "Un aménagement des lignes existantes à une vitesse commerciale de 160 à 200 Km/h permettrait, pour un investissement raisonnable, des dessertes fréquentes de toutes les gares importantes, cadencées toutes les heures", avance l’UNSA. Dans ce dossier , elle avait déjà fait remarquer au sujet du déficit d’exploitation annuel qu’à ce jour, "la SNCF paye deux taxes (la TREF et la CST) qui couvrent 94% de la contribution de l’Etat pour compenser le déficit d’exploitation, avec une contribution symbolique des sociétés autoroutières".
Le syndicat met aussi en garde contre des pertes d’emplois de conducteurs et de contrôleurs dans les trains, dans les gares et dans les activités d’entretien et de maintenance. Et en aval, "il y aurait aussi des destructions d’emplois dans les territoires irrigués aujourd’hui par les trains Intercités et dans l’industrie ferroviaire".
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